5 fascicules (sur 6, sans le premier des 3 n° 1) dépliants in-8 à l'italienne. Sous chemise-étui de papier marbré aux armes du comte de Ribes. Après un numéro d'essai publié le 1er avril 1920 qui n'est pas retenu, Cocteau réalise une deuxième mise en page (n° 1, avril 1920), puis une troisième sur papier de couleur (n° 1, mai 1920). À partir du n° 3, la revue prend pour nom Le Coq parisien. La revue cesse de paraître en novembre 1920 après 4 numéros, sur papier de couleur. N° 1, avril 1920 (exemplaire d'essai en grand format) ;N° 1, mai 1920 (mêmes textes que le précédent, sur papier rose) ;N° 2, juin 1920 (papier jaune) ;N° 3, juillet-août-septembre 1920 (papier crème) ;N° 4, novembre 1920 (papier orange). [On joint :]Bulletin de souscription, sur papier vert. Revue poétique et musicale, publiée par Jean Cocteau et Raymond Radiguet qui prétend, avec la collaboration du Groupe des Six (l’article de tête est signé de Georges Auric), s’opposer à l’esprit Dada. Si formellement Cocteau ne tourne pas tout à fait la page Dada -- Le Coq imite le style typographique et polémique de 391, la revue de Picabia --, Radiguet, plus radical, se montre nettement plus incisif. Textes de Jean Cocteau, Max Jacob, Erik Satie, Georges Auric, Raymond Radiguet.